Edition : Harlequin
Collection : Erotique
Nombres de pages : 160
Parution livre : xxx
Parution ebook : 01.10.2014
Genre : passions intenses, amour, famille
Prix : 2.99 €
Collection : Erotique
Nombres de pages : 160
Parution livre : xxx
Parution ebook : 01.10.2014
Genre : passions intenses, amour, famille
Prix : 2.99 €
Note : 2.8 / 5
Mention : xxxxx
Mention : xxxxx
Synopsis
Avis aux séductrices : les sublissimes frères Anetakis sont de nouveau célibataires, et bien décidés à le rester ! Et que celles qui voudraient tenter leur chance le sachent : en matière de femmes, ils ont des critères on ne peut plus précis. Piers fantasme sur une superbe inconnue – tout à fait dans le genre de la délicieuse blonde avec qui il s’est juré de ne passer qu’une nuit. Oui, mais voilà : Jewel n’est pas de celles qu’on peut oublier. Et cet homme, si sexy qu’il serait dommage de le laisser seul trop longtemps, ne va pas tarder à s’en rendre compte…
Mon avis
Comment « bien » clôturer une trilogie qui avait « si mal » commencé. Piers Anetakis, tout comme ces grands frères est un magna dans le monde de l’hôtellerie. Alors qu’il se prélasse chez lui, il reçoit le coup de fil de Jewel, une ancienne conquête qui lui demande de l’aide. Ni une, ni deux, notre cher milliardaire, prend son jet jusqu’à San Francisco pour venir en aide à cette conquête d’un soir qui va lui annoncer une bonne nouvelle.
Une fois de plus, le côté macho jusqu’à la moelle épinière m’a fait grincer des dents. « Moi homme, toi femme ». Beurk, j’ai eu envie de lui arracher son matricule à Piers.
Mais comme dis précédemment, cette trilogie se termine bien grâce à Jewel – et oui que serait un homme, sans une femme ?-. J’ai apprécié son personnage, même si à certains moments j’ai eu envie de lui dire, que l’amour n’excusait pas tout. Mais ce qui a prédominé dans mon attrait pour celle-ci, vient de son combat personnel pour le petit Eric. Quand on lit son vécu – petite larmouchette -, on adhère deux fois plus.
On retrouve nos chers couples, dans un mini micmac, en mode « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». Merci, Bella de m’avoir bien fait rire, encore une fois.
Pour ce qui est de l’histoire j’ai été ravie de ne pas « trop » voir mes amis les bodyguards. Ouf, enfin quelqu’un qui conduit lui-même sa voiture. Piers one point.
Même si de manière générale j’ai eu un peu de mal, avec le côté ultra macho de ces hommes, ces instants breaks ont été quelque peu agréables, et cela n’a rien avoir avec le faite que nous parlons de Maya Banks. Mais il est vrai que si j’avais dû commencer mes romans de cette auteure, avec cette série, j’aurais mis un droit de regard sur la suite de ces œuvres littéraires.
Enfin, petit instant break.
Une fois de plus, le côté macho jusqu’à la moelle épinière m’a fait grincer des dents. « Moi homme, toi femme ». Beurk, j’ai eu envie de lui arracher son matricule à Piers.
Mais comme dis précédemment, cette trilogie se termine bien grâce à Jewel – et oui que serait un homme, sans une femme ?-. J’ai apprécié son personnage, même si à certains moments j’ai eu envie de lui dire, que l’amour n’excusait pas tout. Mais ce qui a prédominé dans mon attrait pour celle-ci, vient de son combat personnel pour le petit Eric. Quand on lit son vécu – petite larmouchette -, on adhère deux fois plus.
On retrouve nos chers couples, dans un mini micmac, en mode « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». Merci, Bella de m’avoir bien fait rire, encore une fois.
Pour ce qui est de l’histoire j’ai été ravie de ne pas « trop » voir mes amis les bodyguards. Ouf, enfin quelqu’un qui conduit lui-même sa voiture. Piers one point.
Même si de manière générale j’ai eu un peu de mal, avec le côté ultra macho de ces hommes, ces instants breaks ont été quelque peu agréables, et cela n’a rien avoir avec le faite que nous parlons de Maya Banks. Mais il est vrai que si j’avais dû commencer mes romans de cette auteure, avec cette série, j’aurais mis un droit de regard sur la suite de ces œuvres littéraires.
Enfin, petit instant break.
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