
Edition : Archipel
Collection : Roman
Nombres de pages : 385
Parution livre : 16 mai 2002 - Réédité le 14 septembre 2011
Parution ebook : xxx
Genre : historique, famille, complot, religion
Prix : 20 €
Collection : Roman
Nombres de pages : 385
Parution livre : 16 mai 2002 - Réédité le 14 septembre 2011
Parution ebook : xxx
Genre : historique, famille, complot, religion
Prix : 20 €
Note : 3.5 / 5
Mention : Coup de plaisir
Mention : Coup de plaisir
Synopsis
Élu pape en 1492 sous le nom d’Alexandre IV, Rodrigo Borgia fut l’une des plus extraordinaires fripouilles d’une époque qui, pourtant, n’en manqua pas.
Avant de servir Dieu, le nouveau souverain pontife cherche d’abord à servir les siens, à commencer par ses enfants, Juan, César, Geoffroi et Lucrèce.
Mais sa position dominante et son népotisme vont suscitent des jalousies, qui bientôt deviennent meurtrières… En cette Italie de la Renaissance, intrigues, complots et empoisonnements ne sont pas des vains mots !
À la mort de Rodrigo, l’ennemi de la famille, le Cardinal della Rovere lui succède. Et c’est tout le clan Borgia qui se trouve en danger.
César, qui inspirera à Machiavel le personnage du Prince, se réfugie à Naples avant de fuir en Espagne, où il sera fait prisonnier. Mais, bien décidé à retrouver le statut qui était le sien, il s’évade et ourdit sa vengeance… Don Corleone n’avait rien inventé !
Avant de servir Dieu, le nouveau souverain pontife cherche d’abord à servir les siens, à commencer par ses enfants, Juan, César, Geoffroi et Lucrèce.
Mais sa position dominante et son népotisme vont suscitent des jalousies, qui bientôt deviennent meurtrières… En cette Italie de la Renaissance, intrigues, complots et empoisonnements ne sont pas des vains mots !
À la mort de Rodrigo, l’ennemi de la famille, le Cardinal della Rovere lui succède. Et c’est tout le clan Borgia qui se trouve en danger.
César, qui inspirera à Machiavel le personnage du Prince, se réfugie à Naples avant de fuir en Espagne, où il sera fait prisonnier. Mais, bien décidé à retrouver le statut qui était le sien, il s’évade et ourdit sa vengeance… Don Corleone n’avait rien inventé !
Mon avis
J’ai aimé, j’ai apprécié, et j’ai abhorré ce roman … En bref, je sors de cette lecture toute chamboulé.
J’ai aimé. L’histoire, qui se déroule en pleine Renaissance, nous fait revivre l’Italie d’antan. Alors que le pape est vu comme le détenteur du pouvoir spirituel, avec une propension à étendre ce pouvoir d’un point de vue temporel. - Je ne remercierais jamais assez mon professeur d’histoire de m’avoir donné une base de travail, dans le cas contraire, j’aurai « abandonné » ma lecture. - J’ai été subjuguée par Rodrigo Borja/Borgia, qui sera proclamé Alexandre VI. La main-mise de cet homme sur tout et sur tout le monde, le rende respectable et détestable. J’ai eu l’impression d’avoir affaire à une caricature du Saint-Homme, entre dévotion et plaisir charnel, il n’y a qu’un pas. J’ai aimé que l’auteur le rende humain, même si sa fonction l’oblige à ne pas céder aux plaisirs de la chair, Rodrigo va avoir des enfants – bâtard, malheureusement – de lits différents, qu’il assumera et qu’il aimera d’un amour vrai et calculé.
J’ai apprécié. Les personnages dans l’ensemble sont assez fourbes. Au début de ma lecture, j’avais eu un petit kick pour César Borgia – fils de Rodrigo -, mais après une cinquantaine de pages et même si au début, j’ai « excusé » ses actes avec Lucrère, sa sœur, vers la fin mon kick s’est transformé en incompréhension total. Sans oublier, le faite que César va passer d’ange à ange de la mort. Pour ce qui est de Lucrère, ce fut l’effet inverse, je l’ai tout d’abord trouvé quelconque mais elle a su attirer mon attention. Je l’ai trouvé forte, accepter d’être la monnaie d’échange de son père, de se donner corps et âme à César et tenter de vivre pour elle avec ses menus secrets, m’a quelque peu attristé. Geoffroi, fils de Rodrigo, ne m’a pas laissé une si grande impression, tout d’abord naïf, il va s’avérer être l’une des armes contre sa propre famille, mais aussi un mari dévoué.
Sans oublier le nombre incalculable, de personnages secondaires, dont la famille Sforza et notre cher cardinal Della Rovere – ami/ennemi -. Toutes ces familles représentées par le biais d’un frère, d’un cousin, … m’ont donnés quelques fois le tournis. J’en suis arrivée à marier Alexandre avec Sancia !!!!
J’ai abhorré. Même si l’histoire est très bien écrite, je n’ai pas compris ces sauts dans l’histoire. A chaque fin de chapitre, on n’a l’impression de quitter définitivement un personnage, pour mieux le voir revenir …. Sans oublier cette sensation de coquille-vide, voire de lire « différentes » histoires à chaque chapitre. Cela m’a quelque perturbé car je ne savais jamais dans quelle condition me mettre pour la « suite » de l’histoire.
Enfin, très bon roman, qui aura attendu la dernière minute pour m’arracher une petite larme. Par ailleurs, cette histoire est à l’origine de la série du même nom. Je ne pense pas la regarder dans l’immédiat car j’ai une telle image de ces personnages qui ont vécus et marqués l’histoire qu’en cas de déception, je ne voudrais – peut-être – pas lire la suite. A suivre….
NB : Au risque de passer pour une fan transi, l’apparition de personnages connus, tel Michelangelo, m’a fait pousser des petits cris de joie !!!
J’ai aimé. L’histoire, qui se déroule en pleine Renaissance, nous fait revivre l’Italie d’antan. Alors que le pape est vu comme le détenteur du pouvoir spirituel, avec une propension à étendre ce pouvoir d’un point de vue temporel. - Je ne remercierais jamais assez mon professeur d’histoire de m’avoir donné une base de travail, dans le cas contraire, j’aurai « abandonné » ma lecture. - J’ai été subjuguée par Rodrigo Borja/Borgia, qui sera proclamé Alexandre VI. La main-mise de cet homme sur tout et sur tout le monde, le rende respectable et détestable. J’ai eu l’impression d’avoir affaire à une caricature du Saint-Homme, entre dévotion et plaisir charnel, il n’y a qu’un pas. J’ai aimé que l’auteur le rende humain, même si sa fonction l’oblige à ne pas céder aux plaisirs de la chair, Rodrigo va avoir des enfants – bâtard, malheureusement – de lits différents, qu’il assumera et qu’il aimera d’un amour vrai et calculé.
J’ai apprécié. Les personnages dans l’ensemble sont assez fourbes. Au début de ma lecture, j’avais eu un petit kick pour César Borgia – fils de Rodrigo -, mais après une cinquantaine de pages et même si au début, j’ai « excusé » ses actes avec Lucrère, sa sœur, vers la fin mon kick s’est transformé en incompréhension total. Sans oublier, le faite que César va passer d’ange à ange de la mort. Pour ce qui est de Lucrère, ce fut l’effet inverse, je l’ai tout d’abord trouvé quelconque mais elle a su attirer mon attention. Je l’ai trouvé forte, accepter d’être la monnaie d’échange de son père, de se donner corps et âme à César et tenter de vivre pour elle avec ses menus secrets, m’a quelque peu attristé. Geoffroi, fils de Rodrigo, ne m’a pas laissé une si grande impression, tout d’abord naïf, il va s’avérer être l’une des armes contre sa propre famille, mais aussi un mari dévoué.
Sans oublier le nombre incalculable, de personnages secondaires, dont la famille Sforza et notre cher cardinal Della Rovere – ami/ennemi -. Toutes ces familles représentées par le biais d’un frère, d’un cousin, … m’ont donnés quelques fois le tournis. J’en suis arrivée à marier Alexandre avec Sancia !!!!
J’ai abhorré. Même si l’histoire est très bien écrite, je n’ai pas compris ces sauts dans l’histoire. A chaque fin de chapitre, on n’a l’impression de quitter définitivement un personnage, pour mieux le voir revenir …. Sans oublier cette sensation de coquille-vide, voire de lire « différentes » histoires à chaque chapitre. Cela m’a quelque perturbé car je ne savais jamais dans quelle condition me mettre pour la « suite » de l’histoire.
Enfin, très bon roman, qui aura attendu la dernière minute pour m’arracher une petite larme. Par ailleurs, cette histoire est à l’origine de la série du même nom. Je ne pense pas la regarder dans l’immédiat car j’ai une telle image de ces personnages qui ont vécus et marqués l’histoire qu’en cas de déception, je ne voudrais – peut-être – pas lire la suite. A suivre….
NB : Au risque de passer pour une fan transi, l’apparition de personnages connus, tel Michelangelo, m’a fait pousser des petits cris de joie !!!
BANDE ANNONCE DE LA SERIE " Les Borgias"